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mercredi 7 mars 2012

Android Market devient Google Play

Pour affronter Apple et Amazon, dont une grande partie de la stratégie tient à la facilité d'accès aux contenus, Google a rassemblé dans une seule et nouvelle boutique en ligne tous ses contenus : applis Android, Google Music et livres numériques.


REUTERS/ Kena Betancur
Google a remplacé mardi sa boutique d'applications mobiles Android Market par un nouveau magasin en ligne baptisé Google Play, qui inclut en plus Google Music et Google eBookstore. Google Play est censée l'aider à mieux rivaliser contre Apple et Amazon, en devenant un point de vente global pour tous ses contenus numériques.
"On peut trouver et faire partager ses musiques, films, livres et applications préférés sur le web et sur un téléphone ou une tablette sous Android", a expliqué le directeur du numérique chez Google, Jamie Rosenberg, sur le blog de la société. "Google Play est entièrement basé sur l'informatique externalisée (cloud), de telle sorte que toute la musique, les films, les livres et les applications (achetés par un internaute) sont stockés en ligne, toujours accessibles, sans qu'on ait jamais besoin de s'inquiéter qu'on puisse les perdre ou qu'on doive les transférer", a ajouté M. Rosenberg. Un compte Google Play peut par exemple stocker gratuitement jusqu'à 20 000 chansons.
La boutique, avec un catalogue de millions de chansons, proposera aussi plus de 450 000 applications pour tablettes et téléphones, ce qui se veut la plus grande libraire numérique au monde, ainsi qu'un service de location de films. Le catalogue de Google Play variera cependant d'un pays à l'autre, selon la négociation des droits d'utilisation.
Cette annonce intervient à la veille de la présentation de la troisième version de la tablette iPad d'Apple, dont le succès repose notamment sur la richesse de son offre numérique et la facilité d'utilisation de ses boutiques en ligne App Store, iTunes ou iBookstore.
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Panne géante de Facebook pendant près de trois heures

Stupeur pour des millions d'internautes : Facebook n'a pas fonctionné pendant près de trois heures ce mercredi matin ! Au moment d'effectuer cette action quotidienne, familière, de se connecter à sa page, à ses amis, à son monde... Rien. Et d'un coup, le vide, le manque qui permet alors de prendre toute la mesure de l'addiction que peut créer le réseau.
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Mais que s'est-t-il passé ? Depuis environ 7 heures du matin, en France, ce fut le blackout sur le premier réseau social de la planète. Sur le réseau Twitter, on s'est étonné de ce blackout qui semblait être quasi total en Europe. Toujours sur le réseau de micro-blogging, les raisons avancées sont multiples : une opération du FBI, un pic de fréquentation, une action des Anonymous... Il semblerait qu'il s'agisse plutôt d'un problème de serveur, de DNS et de nom de domaine, selon clubic.com. Le lien entre les serveurs contenant les données personnelles des utilisateurs et l'adresse Facebook.com aurait été momentanément rompu.

«Facebook a rencontré des difficultés techniques»

Chez Facebook France, on s'expliquait difficilement la chose. «C'est étrange, ce n'est pas général. Cela fonctionne pour certains et pas pour d'autres, je n'ai pas de problème personnellement, a réagi tôt ce mercredi matin Julien Codorniou, responsable des partenariats de Facebook en Europe. Mais nous avons fait remonter ceci à nos équipes techniques pour qu'elles identifient le problème».

Vers 11 heures, un communiqué officiel de Facebook tombait, relatant l'incident sans en expliquer les causes. « Aujourd’hui, Facebook a rencontré des difficultés techniques, empêchant certains utilisateurs européens à se connecter sur la plateforme. Ces problèmes sont désormais résolus et l’accès à Facebook est rétabli. Facebook s’excuse de ce contretemps et invite les millions d’utilisateurs à reprendre leur activité habituelle sur la plateforme».

Sur twitter, où l'on n'est jamais avare d'une vacherie envers Facebook, on s'amusait de la panne sur le mode : «Qui s'en soucie ? Twitter est beaucoup mieux»... D'autres ironisaient sur le côté virtuel de son réseau d'amis : «Choc, horreur ! C'est alors que l'on se rend compte que l'on n'a pas de vrais amis»...  «Et si on expérimentait le monde sans Facebook ?», tente-t-on encore... Le temps de s'amuser un peu et voilà Facebook de retour. Mais «#FacebookDown», très tôt en tête des tendances du jour en France, devrait rester très haut longtemps dans la journée.

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jeudi 1 mars 2012

De l’iPad 3 à l’iTV, Apple fait trembler ses concurrents

On le sait. Apple boude les grands salons. Cette semaine, le Mobile World Congres de Barcelone s’est fait sans la Pomme et on en parlait à tous les stands. Et comme à chaque salon, il y a la petite rumeur qui relance l’intérêt sur Apple, au cas où on aurait pu l’oublier.
L’iPad3 est donc attendu pour le 7 mars. Invitations reçues à l’appui. Mais pourtant, il n’y avait pas besoin d’une nouvelle salve de rumeurs autour d’un iPad 3, qui sera forcément «plusgrandplusbeauplusperformant» (n’est ce pas là le laïus de la marque ?) pour qu’on parle d’Apple. Mais de la télé d’Apple.
Cette autre rumeur, récurrente s’il en est, concerne le lancement dans un futur proche d’une télé siglée Apple. Et la perspective de l’arrivée sur le marché n’amuse pas du tout ses concurrents. Surtout ceux qui font de la «convergence» leur axe stratégique majeur. Par convergence, il faut comprendre une offre globale, qui comprend télé, smartphone, PC, tablette et Playstation (Argh, vous voyez donc de qui je veux parler ?!) et qu’on utilise pour vendre au client innocent un concept : celui de lire son contenu n’importe où, sur n’importe quel écran. À la décharge de Sony, les représentants de la marque japonaise ne sont pas les seuls à servir la soupe à la grimace à l’idée de voir Apple débarquer avec ses gros sabots (et éventuellement ses bonnes idées) dans leur univers. Ça n’amuse pas non plus Samsung, Panasonic ou LG, qui en plus d'être confrontés à la concurrence d’Apple dans les smartphones, tablettes et éventuellement PC, ne seraient pas non plus ravis ravis de les voir débarquer dans la télé.
Mais ils y voient aussi des bons côtés. D’abord parce que cela fait des lustres qu’ils perdent de l’argent (voire beaucoup d’argent) en vendant des télés. La «faute à» une concurrence acharnée qui s’est traduite par des baisses de prix, du genre de celles qui font le bonheur des consommateurs mais pas des fabricants. Alors, quelque part, on sent bien qu’ils aimeraient bien voir comment Apple s’y prendrait pour gagner des sous, lui. Et s’il en perdait, ça ne les embêterait pas plus que cela. Surtout, ils se disent que si Apple avait la bonne idée de vendre ses télés 1500 euros et plus, ce serait une très bonne nouvelle. Parce que cela leur permettrait de remonter leur prix de vente. Cela créerait un appel d’air vers le haut. De là à dire que les concurrents d’Apple rêvent de le voir lancer un téléviseur, il ne faut pas exagérer non plus.

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fMC : Facebook dévoile sa nouvelle stratégie publicitaire


La première édition de la conférence fMC a été l'occasion pour Facebook de dévoiler une nouvelle stratégie publicitaire à destination des entreprises et autres marques. Le réseau social élargit entre autres le spectre de la réclame à ses versions mobiles.

A quelques semaines de son introduction en bourse, Facebook multiplie les effets d'annonces, et ce n'est, en soi, pas particulièrement étonnant. Hier soir, le réseau social a confirmé que la publicité était au cœur de sa stratégie financière autour de trois annonces.

Le développement des pages fans

Cette nouveauté n'en était plus vraiment une à l'heure de la fMC puisque Facebook permet depuis hier aux propriétaires d'une page fans de la passer en mode Timeline. La personnalisation de la couverture, l'accès facilité aux statistiques ainsi qu'aux différentes interactions avec les membres de la communauté avait donc déjà été potentiellement éprouvé : néanmoins, le réseau social a confirmé que les pages fans seraient bientôt accessibles dans ce format sur ses différentes versions mobiles.

Facebook timeline marque

« Reach Generator » (littéralement « générateur d'atteinte »)

C'est peut-être le point le plus important et le plus stratégique abordé par Facebook lors de cette conférence. L'option « Reach Generator » se propose en effet d'augmenter l'affichage des notifications d'une page pour la rendre davantage visible par les fans.

Car Facebook affiche aujourd'hui les ajouts sur une page fans (statuts, photos, liens, etc.) dans le flux d'actu des utilisateurs selon un algorithme qui juge de leurs pertinences : de fait, les nouveautés d'une page ne sont signalées qu'à un certain nombre de fans. Le réseau social estime qu'au « naturel », 16% en moyenne bénéficie des notificatifs.

Facebook Reach Generator

« Reach Generator » se propose, moyennant finance bien évidemment, d'augmenter ce pourcentage considérablement, jusqu'à 75%. Pour ce faire, les nouveautés seront publiées sous la forme d'éléments sponsorisés dans un espace « contenu relatif » de la colonne de droite. Plus d'utilisateurs y auront ainsi accès et Facebook estime que cette méthode « multiplie le volume de l'engagement envers une marque par deux ». En somme, pour faire court, le réseau social propose aux marques de payer pour toucher ses propres fans, « protégés » jusque-là par un algorithme sélectif affranchi par la publicité.

Facebook Premium

La dernière annonce du réseau social porte sur l'étendue des publicités, qui seront désormais affichées sur les versions mobiles du site – à l'instar de ce qu'a annoncé Twitter – mais également sur la page de déconnexion du site. Ajoutées à celles déjà existantes – apparitions des pubs dans le flux d'actu et dans la colonne de droite – ces nouveautés permettent à Facebook de proposer 4 endroits pour afficher de la réclame, multipliant les possibilités pour les annonceurs. Le réseau social estime que, utilisées à bon escient, ces méthodes permettent de multiplier par 3 le retour sur investissement des marques et entreprises.

Facebook publicité multisupport

Des services réservés à « l'élite »

Hormis la transformation des pages fans, ouverte à tous, les nouvelles fonctions publicitaires sont visiblement réservées aux « gros » clients du réseau social, et ne proposent pas une mise en place simplifiée comme c'est le cas pour les publicités standards. Aucun tarif n'a pour le moment filtré concernant la mise en place et l'utilisation de ces nouvelles possibilités.

Pour les utilisateurs, l'arrivée de ces nouveaux services destinés aux entreprises va se traduire par une hausse de la publicité sur le réseau social, et ce, sous toutes ses formes.
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