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samedi 5 mai 2012

Samsung Galaxy S3 vs HTC One X, premier face à face




Samsung Galaxy S3 vs HTC One X, premier face à face

Samsung a dévoilé ce jeudi son nouveau Galaxy S3 dont la sortie en France est prévue pour le 29 mai. Le fleuron de Samsung aura dans sa ligne de mire le HTC One X qui occupe le terrain depuis avril. Quel super smartphone choisir ? Éléments de réponse ...

 Maintenant que le Samsung Galaxy S3 est présenté, que son prix et sa date de sortie en France sont connu il est temps pour le fleuron de Samsung de se frotter au porte drapeau d'HTC, le One X.
 
Comme nous le pressentions au MWC avec l'officialisation de la série One du constructeur taïwanais, le duel HTC vs Samsung va bien encore avoir lieu cette année sur le segment encombré du smartphone haut de gamme.
 
Un duel à armes égales, nos deux challengers accueillent une solution quatre cœurs pour des performances de haut vol, un très grand écran HD, des aptitudes pour la photo/vidéo et un design étudié.

Design

le Galaxy S3 comme le One X présentent les mêmes codes stylistiques, une ligne bombée, une robe blanche glossy ou matte et un écran affleurant qui semble occuper tout la façade en éclipsant les fines bordures.
 
Très proches, ces terminaux sont aussi agréables à l'oeil que confortable au toucher. Sur ce point, le revêtement mat du One X nous semble tout de même plus agréable à prendre en main.
 
 
Match nul, nous avons affaire à de très beaux terminaux. 

Finition

Chez nos deux concurrents un soin particulier à été apporté au design et a la finition. Structure monobloc chez HTC avec une finition et un assemblage parfait, c'est du solide ! 
Exit le dos en plastique souple du Galaxy S2 ou Galaxy Note, délivrant une impression peu haut de gamme , le Galaxy S3 s'offre une coque glossy arrondie qui inspirent confiance.
 
Avantage pour HTC qui nous apparaît comme le plus rassurant.

Encombrement 

En dépit de dalles très imposantes, 4,7 pouces pour le One X contre 4,8 pour le Galaxy S3, les deux smartphones présentent un encombrement relativement réduit. La finesse des deux terminaux n'est probablement pas étrangère à cette très bonne impression.
 
Pour autant, le Galaxy S3 parvient à être plus fin ( 8,6 mm contre 8,9 ) tout en intégrant une meilleure batterie ( 2100 mah vs 1800 ) pour un poids équivalent ( 133g pour le S3, 130 pour le One X ).
 
 
Avantage Samsung,  meilleur pour faire oublier son très grand écran.

Écran 

Avec des dalles de ce gabarit, le choix de l'écran risque d'être déterminant au moment de passer à la caisse.
 
4,7 pouces d'un côté, 4,8 de l'autre, un pouce d'écart pas forcément visible pour des dalles qui adoptent la même très haute définition de 1280 x 720 pixels. Les psychos du pixel relèveront une différence au niveau de la densité de pixels ( 306 ppi vs 312 pour le One X ) qui est assez anecdotique selon nous.
 
Ce qui l'est déjà moins, c'est la technologie utilisée et ici, il faudra choisir son camp, Super LCD 2 chez HTC ou Super AMOLED chez Samsung.
Nous avons toujours préféré le LCD délivrant une restitution plus neutre certes moins contrastée que l'AMOLED mais qui lui a tendance à saturer les couleurs.
 
Avec les récentes évolutions des deux technologies gommant peu à peu leurs défauts, Il devient difficile de choisir. Les amateurs de multimédia préféreront l'écran du S3 qui magnifie les couleurs, ceux qui attendent une restitution plus réaliste, opteront pour le One.
 
Choisi ton camps ! Quoi qu'il en soit, pas de déception à prévoir sur ce point.

Stockage 

Avec leurs beau et grands écrans, il devient tentant de lire des vidéos HD 720p. La question du stockage de ce types de contenus risque de rapidement se poser...
Design monobloc oblige, HTC a sacrifié le slot carte mémoire sur l'autel du design, vous ne pourrez compter que sur les 32 Go ( 26 en fait ) en interne. Le taïwanais trouve la parade avec 25 Go gratuit en cloud qui nécessite tout de même une connexion.
 
Samsung conserve le slot microSD venant étendre la mémoire interne de 16, 32 ou 64 Go de son GS3. Un choix judicieux d'autant que rien ne confirme que ces trois versions soient effectivement disponibles dans l'hexagone, pour le moment, on parle surtout du Galaxy S3 16 Go ...
 
Avantage Samsung, l'extension carte mémoire demeure un atout des terminaux sous Android face à l'iPhone, autant le conserver ...

Interface

Nos deux terminaux sont animés par le dernier Android ICS.
Pour se distinguer, HTC comme Samsung s'appuient sur leur surcouche maison, Sense et TouchWiz. Possibilité de prendre une photo dans une vidéo chez HTC, sélection rapide de la plus belle photo tout en effaçant tout aussi rapidement les mauvaises, traitement software de l'audio, flash intelligent ou stabilisation numérique, HTC a doté sa remarquable surcouche, référence sur Android, d'optimisations très utiles.
 
Mais en face, Samsung a mis le paquet niveau software, un Siri Like, S Voice ou la reconnaissance visuelle qui met en veille le Galaxy S3 dès que l'on détourne le regard de son écran.
 
Surtout Pop up play, la killer app innovante qui permet d'afficher une vidéo sous forme de vignette et de la superposer sur toutes les applications, contenus ou bureaux du Galaxy S3.
Vous pouvez lire un film tout en relevant simultanément vos mais où surfer sur le web. Nous avons adoré.
 
Avantage Samsung

Performance à l'usage

Le One X adopte un quatre cœurs Tegra 3, le Galaxy S3 un quatre cœurs maison Exynos. En pratique, soyons honnête, la différence en terme de performance ne sera pas visible à l'usage hormis pour des utilisations anecdotiques comme le montage d'une vidéo sur son mobile...
 
Nous avons affaire à des terminaux puissants et qui délivrent une expérience remarquablement fluide.

 
Les accros du benchmark n'hésiterons pas à comparer les deux solutions ( nous l'avons fait avec Antutu Benchmark, le résultat est très proche) et ne manqueront pas de disserter sur les plus et les moins théorique.
 
Car en pratique, encore une fois, l'expérience sera identique. Les points à identifier seront sur le terrain de l'autonomie et du dégagement de chaleur. Nous ne manquerons pas de compléter ce face à face lorsque nous aurons des éléments probants.
 
Match nul en attendant d'avoir le Galaxy S3 plus longuement entre les mains

Photo/vidéo 

Comme pour les performances, il conviendra de comparer les photos dans différentes conditions d'éclairage pour adjuger quel est le meilleur photophone entre le Galaxy S3 et le HTC One X qui adoptent tout deux un capteur rétro éclairé de 8 megapixels.
Reste que sur le papier, avec son ouverture à f/2 et son grand angle équivalent 28 mm, le One X prend l'avantage.
 
Avantage sur le papier au One X. Attendons les premiers clichés capturés avec le Galaxy S3 pour nous faire une opinion définitive.
 
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mercredi 7 mars 2012

Android Market devient Google Play

Pour affronter Apple et Amazon, dont une grande partie de la stratégie tient à la facilité d'accès aux contenus, Google a rassemblé dans une seule et nouvelle boutique en ligne tous ses contenus : applis Android, Google Music et livres numériques.


REUTERS/ Kena Betancur
Google a remplacé mardi sa boutique d'applications mobiles Android Market par un nouveau magasin en ligne baptisé Google Play, qui inclut en plus Google Music et Google eBookstore. Google Play est censée l'aider à mieux rivaliser contre Apple et Amazon, en devenant un point de vente global pour tous ses contenus numériques.
"On peut trouver et faire partager ses musiques, films, livres et applications préférés sur le web et sur un téléphone ou une tablette sous Android", a expliqué le directeur du numérique chez Google, Jamie Rosenberg, sur le blog de la société. "Google Play est entièrement basé sur l'informatique externalisée (cloud), de telle sorte que toute la musique, les films, les livres et les applications (achetés par un internaute) sont stockés en ligne, toujours accessibles, sans qu'on ait jamais besoin de s'inquiéter qu'on puisse les perdre ou qu'on doive les transférer", a ajouté M. Rosenberg. Un compte Google Play peut par exemple stocker gratuitement jusqu'à 20 000 chansons.
La boutique, avec un catalogue de millions de chansons, proposera aussi plus de 450 000 applications pour tablettes et téléphones, ce qui se veut la plus grande libraire numérique au monde, ainsi qu'un service de location de films. Le catalogue de Google Play variera cependant d'un pays à l'autre, selon la négociation des droits d'utilisation.
Cette annonce intervient à la veille de la présentation de la troisième version de la tablette iPad d'Apple, dont le succès repose notamment sur la richesse de son offre numérique et la facilité d'utilisation de ses boutiques en ligne App Store, iTunes ou iBookstore.
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Panne géante de Facebook pendant près de trois heures

Stupeur pour des millions d'internautes : Facebook n'a pas fonctionné pendant près de trois heures ce mercredi matin ! Au moment d'effectuer cette action quotidienne, familière, de se connecter à sa page, à ses amis, à son monde... Rien. Et d'un coup, le vide, le manque qui permet alors de prendre toute la mesure de l'addiction que peut créer le réseau.
..

Mais que s'est-t-il passé ? Depuis environ 7 heures du matin, en France, ce fut le blackout sur le premier réseau social de la planète. Sur le réseau Twitter, on s'est étonné de ce blackout qui semblait être quasi total en Europe. Toujours sur le réseau de micro-blogging, les raisons avancées sont multiples : une opération du FBI, un pic de fréquentation, une action des Anonymous... Il semblerait qu'il s'agisse plutôt d'un problème de serveur, de DNS et de nom de domaine, selon clubic.com. Le lien entre les serveurs contenant les données personnelles des utilisateurs et l'adresse Facebook.com aurait été momentanément rompu.

«Facebook a rencontré des difficultés techniques»

Chez Facebook France, on s'expliquait difficilement la chose. «C'est étrange, ce n'est pas général. Cela fonctionne pour certains et pas pour d'autres, je n'ai pas de problème personnellement, a réagi tôt ce mercredi matin Julien Codorniou, responsable des partenariats de Facebook en Europe. Mais nous avons fait remonter ceci à nos équipes techniques pour qu'elles identifient le problème».

Vers 11 heures, un communiqué officiel de Facebook tombait, relatant l'incident sans en expliquer les causes. « Aujourd’hui, Facebook a rencontré des difficultés techniques, empêchant certains utilisateurs européens à se connecter sur la plateforme. Ces problèmes sont désormais résolus et l’accès à Facebook est rétabli. Facebook s’excuse de ce contretemps et invite les millions d’utilisateurs à reprendre leur activité habituelle sur la plateforme».

Sur twitter, où l'on n'est jamais avare d'une vacherie envers Facebook, on s'amusait de la panne sur le mode : «Qui s'en soucie ? Twitter est beaucoup mieux»... D'autres ironisaient sur le côté virtuel de son réseau d'amis : «Choc, horreur ! C'est alors que l'on se rend compte que l'on n'a pas de vrais amis»...  «Et si on expérimentait le monde sans Facebook ?», tente-t-on encore... Le temps de s'amuser un peu et voilà Facebook de retour. Mais «#FacebookDown», très tôt en tête des tendances du jour en France, devrait rester très haut longtemps dans la journée.

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jeudi 1 mars 2012

De l’iPad 3 à l’iTV, Apple fait trembler ses concurrents

On le sait. Apple boude les grands salons. Cette semaine, le Mobile World Congres de Barcelone s’est fait sans la Pomme et on en parlait à tous les stands. Et comme à chaque salon, il y a la petite rumeur qui relance l’intérêt sur Apple, au cas où on aurait pu l’oublier.
L’iPad3 est donc attendu pour le 7 mars. Invitations reçues à l’appui. Mais pourtant, il n’y avait pas besoin d’une nouvelle salve de rumeurs autour d’un iPad 3, qui sera forcément «plusgrandplusbeauplusperformant» (n’est ce pas là le laïus de la marque ?) pour qu’on parle d’Apple. Mais de la télé d’Apple.
Cette autre rumeur, récurrente s’il en est, concerne le lancement dans un futur proche d’une télé siglée Apple. Et la perspective de l’arrivée sur le marché n’amuse pas du tout ses concurrents. Surtout ceux qui font de la «convergence» leur axe stratégique majeur. Par convergence, il faut comprendre une offre globale, qui comprend télé, smartphone, PC, tablette et Playstation (Argh, vous voyez donc de qui je veux parler ?!) et qu’on utilise pour vendre au client innocent un concept : celui de lire son contenu n’importe où, sur n’importe quel écran. À la décharge de Sony, les représentants de la marque japonaise ne sont pas les seuls à servir la soupe à la grimace à l’idée de voir Apple débarquer avec ses gros sabots (et éventuellement ses bonnes idées) dans leur univers. Ça n’amuse pas non plus Samsung, Panasonic ou LG, qui en plus d'être confrontés à la concurrence d’Apple dans les smartphones, tablettes et éventuellement PC, ne seraient pas non plus ravis ravis de les voir débarquer dans la télé.
Mais ils y voient aussi des bons côtés. D’abord parce que cela fait des lustres qu’ils perdent de l’argent (voire beaucoup d’argent) en vendant des télés. La «faute à» une concurrence acharnée qui s’est traduite par des baisses de prix, du genre de celles qui font le bonheur des consommateurs mais pas des fabricants. Alors, quelque part, on sent bien qu’ils aimeraient bien voir comment Apple s’y prendrait pour gagner des sous, lui. Et s’il en perdait, ça ne les embêterait pas plus que cela. Surtout, ils se disent que si Apple avait la bonne idée de vendre ses télés 1500 euros et plus, ce serait une très bonne nouvelle. Parce que cela leur permettrait de remonter leur prix de vente. Cela créerait un appel d’air vers le haut. De là à dire que les concurrents d’Apple rêvent de le voir lancer un téléviseur, il ne faut pas exagérer non plus.

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fMC : Facebook dévoile sa nouvelle stratégie publicitaire


La première édition de la conférence fMC a été l'occasion pour Facebook de dévoiler une nouvelle stratégie publicitaire à destination des entreprises et autres marques. Le réseau social élargit entre autres le spectre de la réclame à ses versions mobiles.

A quelques semaines de son introduction en bourse, Facebook multiplie les effets d'annonces, et ce n'est, en soi, pas particulièrement étonnant. Hier soir, le réseau social a confirmé que la publicité était au cœur de sa stratégie financière autour de trois annonces.

Le développement des pages fans

Cette nouveauté n'en était plus vraiment une à l'heure de la fMC puisque Facebook permet depuis hier aux propriétaires d'une page fans de la passer en mode Timeline. La personnalisation de la couverture, l'accès facilité aux statistiques ainsi qu'aux différentes interactions avec les membres de la communauté avait donc déjà été potentiellement éprouvé : néanmoins, le réseau social a confirmé que les pages fans seraient bientôt accessibles dans ce format sur ses différentes versions mobiles.

Facebook timeline marque

« Reach Generator » (littéralement « générateur d'atteinte »)

C'est peut-être le point le plus important et le plus stratégique abordé par Facebook lors de cette conférence. L'option « Reach Generator » se propose en effet d'augmenter l'affichage des notifications d'une page pour la rendre davantage visible par les fans.

Car Facebook affiche aujourd'hui les ajouts sur une page fans (statuts, photos, liens, etc.) dans le flux d'actu des utilisateurs selon un algorithme qui juge de leurs pertinences : de fait, les nouveautés d'une page ne sont signalées qu'à un certain nombre de fans. Le réseau social estime qu'au « naturel », 16% en moyenne bénéficie des notificatifs.

Facebook Reach Generator

« Reach Generator » se propose, moyennant finance bien évidemment, d'augmenter ce pourcentage considérablement, jusqu'à 75%. Pour ce faire, les nouveautés seront publiées sous la forme d'éléments sponsorisés dans un espace « contenu relatif » de la colonne de droite. Plus d'utilisateurs y auront ainsi accès et Facebook estime que cette méthode « multiplie le volume de l'engagement envers une marque par deux ». En somme, pour faire court, le réseau social propose aux marques de payer pour toucher ses propres fans, « protégés » jusque-là par un algorithme sélectif affranchi par la publicité.

Facebook Premium

La dernière annonce du réseau social porte sur l'étendue des publicités, qui seront désormais affichées sur les versions mobiles du site – à l'instar de ce qu'a annoncé Twitter – mais également sur la page de déconnexion du site. Ajoutées à celles déjà existantes – apparitions des pubs dans le flux d'actu et dans la colonne de droite – ces nouveautés permettent à Facebook de proposer 4 endroits pour afficher de la réclame, multipliant les possibilités pour les annonceurs. Le réseau social estime que, utilisées à bon escient, ces méthodes permettent de multiplier par 3 le retour sur investissement des marques et entreprises.

Facebook publicité multisupport

Des services réservés à « l'élite »

Hormis la transformation des pages fans, ouverte à tous, les nouvelles fonctions publicitaires sont visiblement réservées aux « gros » clients du réseau social, et ne proposent pas une mise en place simplifiée comme c'est le cas pour les publicités standards. Aucun tarif n'a pour le moment filtré concernant la mise en place et l'utilisation de ces nouvelles possibilités.

Pour les utilisateurs, l'arrivée de ces nouveaux services destinés aux entreprises va se traduire par une hausse de la publicité sur le réseau social, et ce, sous toutes ses formes.
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mercredi 29 février 2012

MWC 2012 : la nouvelle tablette Transformer d’Asus s’inscrit dans la mouvance hybride

sus s’assagit avec l’Eee Pad Transformer 300, énième tablette tactile emblème d’une « tendance hybride » qui aura animé tout du long cette édition 2012 du Mobile WorldCongress.
Avec le concours de Nvidia et son nouveau Tegra 3 bridé pour l’occasion à 1,2 GHz, le groupe taïwanais s’impose comme l’un des porte-drapeaux de la transition qui s’initie en coulisse, destination les processeurs quadricoeur et l’implémentation en standard de la 4G/LTE.

C’est toutefois peu de le dire, et un minimum de rigueur. Habitué à faire du neuf avec du vieux, Asus met à profit l’évolution de l’architecture ARM pour s’en tirer honorablement, perpétuant un concept vieux de près d’un an.
Quoique la recette hume dangereusement le réchauffé, à défaut d’une évolutivité aux abonnés absents.
La Transformer, première du nom, a certes connu un certain succès avec son clavier amovible qui lui a conféré une dualité entre consommation et création de contenus.
Néanmoins, recycler indéfiniment un produit dont le socle immuable (1 Go de RAM, mémoire interne de 16 Go, connectivité similaire, etc.) affiche le poids du temps – et 635 grammes sur la balance – relève de la prise de risques.
Pis, le panneau tactile de 10,1 pouces, en dépit d’une résolution maximisée à 1280 x 800 pixels, embarque une technologie IPS arriérée, à 350 cd/m² en luminosité, contre près du double pour le dernier modèle Transformer arrivé sur le marché.
Le sempiternel clavier optionnel perdure lui aussi et avec lui, la commodité de touches chiclet surmontées d’une kyrielle de raccourcis multimédia destinés à simplifier le contrôle de l’OS Android Ice Cream Sandwich.
Une fois enfiché, il alourdit significativement l’ensemble, qui tutoie le kilo et demi, pour un gabarit comparable à celui d’une feuille de papier A4 (18 x 26,3 cm), l’épaisseur exceptée.
La dépendance à son envers est toutefois moins prononcée. Et pour cause : la partie tablette intègre davantage de connecteurs et d’interfaces, dont ce lecteur de cartes microSD dont manquait cruellement la Transformer originelle.
En outre, le capteur photographique, jusqu’alors relativement décevant dans son office de capture d’images fixes et séquences animées, atteint le seuil des 8 millions de pixels.
Un tel élément relève d’un perfectionnisme certain sur une ardoise numérique, mais tout est bon à prendre alors qu’Asus, fort d’1,8 million de Transformer écoulées sur l’exercice 2011,vise les 3 à 6 millions de livraisons en 2012.

                                                                                                                                 source

IBM progresse vers l'ordinateur quantique du futur

Les chercheurs d’IBM ont établi un nouveau record : le plus long temps de décohérence dans un circuit d’ordinateur quantique. L'exploit n'est pas mince : si un jour ce temps s’allonge suffisamment pour un nombre de « qubits » assez grand, une nouvelle ère technologique s’ouvrira.
  • À lire, notre dossier sur l'ordinateur quantique
Les bits d’information des ordinateurs classiques sont simplement des nombres binaires que l’on peut manipuler selon des principes en partie établis par les travaux d’Alan Turing. Mais avec des qubits d’informations, des états de machine qui sont des superpositions de « 0 » et de « 1 », des calculs en parallèle d’une très grande puissance et d’une très grande rapidité deviennent possibles, brisant les limites physiques des ordinateurs basées sur les lois de la physique classique. Avec une telle information quantique, 250 qubits suffiraient pour faire des calculs nécessitant d’enregistrer un bit d’information classique par atome présent dans l’univers observable.
L’un des tout premiers chercheurs qui a exploré les possibilités offertes par des ordinateurs quantiques fut le prix Nobel de physique Richard Feynman.
La cavité micro-onde en cuivre ouverte avec, en noir sur une surface translucide, le circuit supraconducteur portant un qubit. Un inch (pouce) vaut 2,54 cm.
La cavité micro-onde en cuivre ouverte avec, en noir sur une surface translucide, le circuit supraconducteur portant un qubit. Un inch (pouce) vaut 2,54 cm. © IBM Research
On a déjà réalisé des ordinateurs quantiques mais leur puissance reste très faible car n’importe quelle calculatrice programmable des années 1970 les battrait aisément. Pour réellement concurrencer des machines comme le Curie, le supercalculateur de Bull à 2 pétaflops, il faut un assez grand nombre de qubits.
Des qubits avec jonctions Josephson supraconductrices
Malheureusement, cela veut dire qu’il faut exorciser le démon de la décohérence dont on sait qu’il intervient pour résoudre le paradoxe du chat de Schrödinger.
IBM vient d'annoncer que ses ingénieurs avaient réussi à défier le démon et à le battre partiellement en utilisant, entre autres, un dispositif exploitant le phénomène de la supraconductivité.
La porte logique quantique utilisée dans le circuit supraconducteur 2D des chercheurs d'IBM
La porte logique quantique utilisée dans le circuit supraconducteur 2D des chercheurs d'IBM. © IBM Research
Une jonction Josephson a ainsi été suspendue dans une cavité micro-onde et ce circuit supraconducteur qualifié de 3D a permis d’atteindre un temps de résistance à la décohérence de 100 microsecondes, ce qui améliore les résultats précédemment obtenus d’un facteur de 2 à 4 selon les chercheurs d’IBM.
Un autre dispositif supraconducteur, qualifié lui de 2D, a été réalisé avec une puce et le temps de résistance à la décohérence a été cette fois de 10 microsecondes.
Ces éléments n'ont pas été choisis au hasard car ils devraient pouvoir être multipliés à grande échelle dans le futur. Si notre conscience s'explique en information quantique, peut-être, d'ici quelques dizaines d'années, l'équivalent de la puce synaptique d'IBM (devenue quantique) permettra-t-elle de réaliser le rêve d'Alan Turing, à savoir la conscience artificielle.
Toutefois, pour beaucoup, exorciser définitivement le démon de la décohérence quantique tiendrait du miracle. On verra bien... peut-être vers 2045.

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dimanche 26 février 2012

Les Nokia Lumia 610 et 900 dévoilés au MWC 2012


Nokia Lumia 610  

D'après Reuters, Nokia dévoilera au salon MobileWorld Congress son Lumia 610, un modèle d'entrée de gamme, tandis que le Lumia 900 sera le nouveau fleuron de la gamme Windows Phone. 

 nokia devrait venir au Mobile World Congress avec au moins deux nouveaux Windows. D'après les informations de Reuters, ce seront les Lumia 610 et Lumia 900 que Nokia dévoilera lundi lors de sa conférence de presse. Le Lumia 610 sera un modèle d'entrée de gamme avec un positionnement prix agressif. On ignore encore les détails de sa configuration.

Le Lumia 900 a déjà fait parler de lui lors du dernier Consumer Electronic Show. On sait qu'il possède un écran 4,3 pouces AMOLED, un capteur photo 8 mégapixels, 16 Go de stockage interne et une batterie longue durée. La version américaine supportera le réseau 4G, mais Reuters indique que Nokia devrait profiter du MWC pour présenter une version destinée aux autres marchés mondiaux. (EP)

                                                                                                                                               source

Google Maps : Street View débarque en Russie

Le service de l’entreprise basée à Mountain View débarque en Russie pour prendre en photo les différents lieux du pays, pour pouvoir visiter celui-ci comme si on y était.
Street View en Russie et disponible dès aujourd’hui avec Google Maps, si vous souhaitez découvrir ce beau pays, vous pouvez le faire avec le service de Google et découvrir des lieux comme Moscou, Saint Petersbourg et bien d’autres villes célèbres de Russie.
Voici par exemple la Place Rouge et le Kremlin de Moscou présentés par Street View de Google pour la Russie en image.

Street View vous permet ainsi de visiter des villes comme ici Moscou avec ses parcs Tsaritsino et Kuskovo, qui sont parmis les plus populaires de la capitale.
Si vous souhaitez découvrir d’autres exemples et les détails de cette mise à jour de Street View pour Google Maps afin d’afficher en détail la Russie,

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Une tablette Google 7 pouces pour concurrencer Kindle ?


Google n'a pas souhaité commenter cette information mais ne l'a pas démentie non plus. Selon un analyste de DisplaySearch interrogé par nos confrères de CNET.com, la tablette que Google prévoit de sortir dans les prochains mois pourrait être une 7 pouces.

La rumeur a été lancée début Janvier par le site DigiTimes suite aux propos du PDG de Google Eric Schmidt qui a affirmé travailler sur le lancement d'une tablette haute qualité prévue pour le premier semestre 2012.

Deux Millions de tablettes seraient mises en en production dès le mois d'Avril d'après l'analyste Richard Shim qui évoque une taille d'écran de 7 pouces et une définition d'écran de 1280x800 pixels. Sous Android 4, la tablette serait proposée à un prix de 199 dollars et pourrait venir concurrencer la liseuse Kindle Fire d'Amazon.

Appli Kindle sur Android

Ce dernier point est toutefois le plus incertain pour le spécialiste qui dit ne pas voir clair dans le jeu de Google. Le géant du web pourrait aussi avoir décidé de s'attaquer au marché des tablettes tactiles traditionnelles avec un prix agressif.
Guillaume Bonvoisin, CNET France

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Visual Studio 11 version bêta et .NET 4.5 bientôt en téléchargement


Visual Studio 11

C’est le 29 février prochain qu’officiellement la nouvelle version bêta du logiciel de Microsoft sera disponible comme nous l’apprend le site Internet de l’entreprise.
Visual Studio 11 en téléchargement ainsi que .NET Framework 4.5 c’est pour très bientôt, en effet Microsoft a annoncé officiellement, que les nouvelles versions de .NET qui passe en version 4.5 et de Visual Studio qui sera la 11, seront bientôt disponibles et plus précisément le 29 février 2012.
Cette nouvelle version de Visual Studio et les améliorations du .NET Framework vont permettre un développement plus rapide des produits pour les développeurs, une meilleure collaboration avec les équipes techniques en entreprise et une meilleure utilisation avec des améliorations au niveau des fonctionnalités et la prise en charge des technologies.
Concernant ceux qui utilisent le réseau social Twitter, Microsoft News a informé aussi de cette sortie de manière officielle avec le tweet suivant : Microsoft News, qui est un lien vers un communiqué de l’entreprise basée à Redmond. On y découvre ainsi que le hashtag associé pour Visual Studio 11 sera #vs11beta .
Pour découvrir l’information en anglais complète, vous pouvez visiter le site Internet de : Microsoft. Vous pouvez aussi découvrir les informations du blog de : S.Somasegar, un employé de l’entreprise Microsoft, qui parle de cette nouvelle version de Visual Studio 11 et de .NET Framework en version 4.5 pour février.

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samedi 25 février 2012

Surprise : Chrome intégrera bientôt une fonction Do Not Track

Google va adopter dans Chrome, comme Mozilla, Microsoft et Apple dans leurs navigateurs respectifs, une fonction Do Not Track. Une initiative étonnante de sa part, car la firme refusait jusqu’alors d’intégrer ce dispositif, qui permet d’annuler le pistage publicitaire et donc de porter atteinte à son business model.
Ce ne sont pas les polémiques récentes à propos de Safari et Internet Explorer qui ont eu raison de la détermination de Google… En réalité, cette décision a été prise pour coller au plan de Barack Obama pour une charte de la vie privée sur Internet. A noter tout de même que l’ajout de ce bouton Do Not Track ne permet pas de tout bloquer. Le Wall Street Journal, qui relaie cette information, précise que les informations des internautes pourront toujours être utilisées pour des « recherches marchés » et des « développements produits ». Les fonctions sociales, comme les boutons « j’aime » et le « +1 » de Google, ne sont pas non plus concernées.
 
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Asus HD 7950 DirectCU II : défaut, attention !




La Radeon HD 7950 DirectCU II d'Asus, disponible depuis peu dans le commerce, souffre d'un défaut au niveau de la fixation de son système de refroidissement qui entraîne une surchauffe du GPU et peut causer rapidement des plantages, surtout avec overclocking. Nous vous recommandons d'éviter ce modèle tant qu'Asus n'aura pas corrigé le problème et rappelé les premiers lots défectueux.


Lorsque nous avons débuté la préparation de notre comparatif de Radeon HD 7900, Asus a été l'un des premiers fabricants à nous faire parvenir une Radeon HD 7950 semi-personnalisée, c'est-à-dire basée sur un PCB de référence (mais fabriqué dans ses propres usines) et équipée d'un système de refroidissement alternatif, le célèbre DirectCU II de la marque.


A peine installée dans notre boîtier de test, nous avons remarqué des plantages fréquents. En observant la carte de plus près, nous avons alors constaté que l'imposant système de refroidissement n'est fixé qu'au moyen de 4 vis autour du GPU et que l'une d'elle tournait dans le vide. En resserrant toutes les vis au maximum pour essayer de compenser, nous avons remarqué qu'en plus de ce défaut sur notre échantillon, la pression du ventirad contre le GPU était très (voire trop) légère pour toutes les vis. Nous avons malgré tout repris nos tests, les plantages ayant disparu et la température GPU reportée par la sonde étant relativement faible.

Les clichés infrarouges ont cependant mis en avant des températures extrêmement élevées à l'arrière du GPU, jusqu'à 118 °C. Il y avait de toute évidence un problème et nous nous sommes abstenus d'intégrer le test de ce modèle dans notre comparatif, le temps d'éclaircir tout cela. Nous avons fait part de nos observations à Asus France et du fait qu'il semblait y avoir un problème de pression, en plus d'une vis défectueuse.

A ce moment-là, les choses se compliquent. D'une part en Europe, Asus nous indique à demi-mot avoir reproduit le problème et qu'ajouter une rondelle sous les vis permet effectivement d'améliorer la compression, sans cependant affirmer qu'il s'agit d'un défaut qui demande à être corrigé. Nous insistons alors pour obtenir une confirmation claire : soit il n'y a pas de problème, soit les cartes du commerce seront bien toutes corrigées. Notre interlocuteur chez Asus France est bien embêté lorsque nous insistons à de nombreuses reprises pour avoir une réponse. Nous n'en aurons pas, Asus Taiwan fait la sourde oreille, et se moque des clichés infrarouges "prétendument fantaisistes" que nous leurs avons fournis. Impossible bien entendu de récupérer un second échantillon de test.

Les semaines passent et les cartes arrivent finalement dans le commerce, toujours sans la moindre réaction d'Asus. Nous nous doutons qu'il y a un problème mais sans en être certains puisqu'une vis était défectueuse sur l'échantillon initial. Nous avons donc récupéré une carte du commerce et recommencé nos tests. Première observation : la carte est totalement identique au premier échantillon passé entre nos mains, à l'exception de la vis défectueuse bien entendu, et la pression du ventirad sur le GPU est toujours aussi faible.

Toute la première partie de notre protocole, sur banc de test (carte à la verticale), se passe bien. Le premier test en boîtier, carte à l'horizontale, se passe bien également…. tout du moins au départ. Après 30 minutes de charge, sans overclocking, et bien que la sonde GPU reporte une faible température, le système plante. Nous relançons le test, boîtier ouvert, de manière à observer la température de la carte. Surprise, elle grimpe assez vite à l'arrière du GPU et une fois qu'elle atteint +/- 80 °C, ce qui réduit probablement l'effet fixant de la pâte thermique, elle accélère jusqu'à atteindre plus de 115 °C et entraîner un plantage net. Le log de la sonde GPU n'indique cependant que 70 °C.


Nous sommes convaincus que le problème vient de la pression du ventirad contre le GPU, la zone de chaleur observée avec la thermographie infrarouge n'étant pas centrée sur le GPU mais légèrement à sa droite, soit dans la direction où se trouve la plus grosse partie du poids du ventirad. Pour le démontrer, nous relançons une fois de plus le test, cette fois en tenant l'appareil infrarouge dans une main et en soutenant le ventirad de l'autre main. Pour faire chauffer le GPU plus rapidement, nous avons ajouté un petit overclocking. Comme nous nous y attendions, il n'y a plus de problème, la température à l'arrière du GPU est normale, de +/- 75 °C… mais une fois la main relâchée, la température grimpe de 20 °C en quelque secondes et il faut moins d'une minute pour que le système plante. Si à l'inverse nous appliquons une légère pression (telle que pourrait le faire un câble un tant soit peu rigide) sur le dessus du ventirad, il se décolle encore plus du GPU et le système plante instantanément.


Le poids du ventirad est suffisant pour le décoller légèrement du GPU, problème que nous avons accentué avec une légère pression pour qu'il soit bien visible sur cette photo.


De toute évidence la Radeon HD 7950 DirectCU II présente un défaut de design. S'il est étrange que la température reportée par la sonde GPU ne l'exprime pas (la sonde est peut-être située sur un coin du GPU qui reste en contact, ou la valeur qu'elle reporte est mal interprétée), le GPU surchauffe bel et bien suite à un mauvais contact avec son ventirad. Un tel petit défaut peut arriver à tous les fabricants, c'est en général détecté sur les premiers échantillons et il suffit de rectifier légèrement le design.

Ce qui nous offusque dans le cas présent, c'est qu'Asus était de toute évidence au courant de ce défaut potentiel, voire confirmé par certaines personnes en interne, et a choisi de l'ignorer de manière à ne pas avoir à retarder la commercialisation de ce produit, très attendu par certains aficionados de la marque. Un comportement des plus décevants, d'autant qu'il s'agit d'un modèle haut de gamme qui est censé être peaufiné en détail pour offrir une qualité supérieure !

Nous espérons bien évidemment que le fabricant va assumer, rappeler toutes ces cartes, en version classique et TOP overclockée d'usine, ne les remettre en vente qu'une fois le problème réglé et ne plus commercialiser de prototypes au comportement douteux à l'avenir ! En attendant, nous ne pouvons que vous encourager à éviter ce modèle.

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Un nouveau datacenter à 130 millions de dollars pour Microsoft à Dublin

Microsoft a lancé la construction d'un nouveau datacenter en Irlande, à Dublin, voisin de celui mis en service en 2009.
D'une surface de 10 400 m², il développera une puissance de 13 MW et aura pour mission d'absorber le développement des services en ligne Office 365, Windows Live, Xbox Live, Bing et Windows Azure pour les pays de la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique.
Microsoft consacre 130 millions de dollars à cette nouvelle infrastructure qui, dit-il, sera « 50% plus efficace que les datacenter traditionnels et utilisera 99% moins d'eau pour les besoins de refroidissement ».
Cette annonce survient presque en même temps que celle d'un nouveau datacenter géant qu'Apple a l'intention de construire en Caroline du Nord. S'étendant sur 40 hectares, il aura une puissance de 20 MW et sera alimenté par la plus grande ferme solaire à usage privé des États-Unis. Le cout de l'installation sera de 1 milliard de dollars. (Eureka Presse)

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vendredi 24 février 2012

LG Optimus 4x HD Smartphone : quatre coeurs battent pour le LG Optimus 4x HD

LG n’est plus à un smartphone près. Enième représentant de la série Optimus, le 4x HD fait fi de sa banalité apparente pour s’imposer comme l’ambassadeur des processeurs à quatre coeurs.

Un smartphone Optimus peut en cacher un autre. Et décréter par la même l’avènement d’une nouvelle ère, en l’occurrence celle des processeurs à quatre coeurs.
En qualité de porte-drapeau omniprésent à l’aube du Mobile World Congress, LG s’attèle à la tâche et s’offre les services d’un SoC Nvidia Tegra3 à 1,5 GHz, implémenté au sein du 4x HD, un terminal qui matérialise la transition d’envergure qui s’orchestre en coulisse.

Sur un marché de la téléphonie mobile au beau fixe, une telle évolution entrevue de longue date ne faisait guère que l’objet d’une pesante incertitude quant à son échéance.
Faisait simplement défaut, la parole d’un constructeur qui fut, en des temps désormais quasi immémoriaux au regard du progrès, l’ambassadeur du double coeur, avec l’Optimus 2x HD.
Comme un symbole, LG, qui multiplie les initiatives pour diversifier son catalogue et adresser le plus clair des usagers, s’impose à nouveau comme un instigateur en la matière.
Avec le concours d’un gigaoctet de RAM et d’une mémoire interne à 16 Go, le processeur Tegra3 quadri-core, énergivore sous les feux de la rampe, soigne ses maux en catimini, déléguant à un composant annexe (concept dit du « 4+1″) certaines tâches peu gourmandes en ressources (lecture, écoute de musique, etc.).
A l’appui de 12 GPU, la résolution sur l’écran IPS de 4,7 pouces monte à 1280 x 800 points (720p).
Reconverti en interface HDMI moyennant un cordon adéquat, le port micro-USB diffuse des flux en Full HD, notamment les photographies prises avec le capteur intégré, à 8 mégapixels, doté d’un rétroéclairage BSI (BackSide Illuminated) et secondé d’un flash LED.
D’une épaisseur de 8,9mm comparable à celle du Samsung Galaxy S2, le châssis héberge les modules de communication sans fil Wi-Fi 802.11n et Bluetooth 4.0.
Optimus 4X HD smartphonePas de NFC à l’horizon, mais une prise en charge de la diffusion de contenus par DLNA, via un client logiciel intégré à Android Ice Cream Sandwich, lui-même livré en standard « au cours du printemps, en parallèle à la sortie de l’Optimus 4x HD« , confie LG.
A l’image de son homologue Samsung, « l’autre Coréen » s’affiche dorénavant sans concession, afin de préparer le terrain pour une progéniture qui constitue un véritable dépoussiérage d’une gamme de mobile ainsi sauvée de la désuétude qui lui pendait au nez.







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HP : des PC sous Windows 8 pour fin 2012, mais pas ARM

Pour profiter des achats lors des fêtes de fin d’année, HP espère bien lancer toute une ligne de PC sous Windows 8 x86 fin 2012. Objectif : reproduire le succès rencontré avec Windows 7. Et éviter un écueil Vista ?
Dans un contexte économique tendu et face à une demande sur le marché des particuliers qui reste faible dans les économies matures, les constructeurs semblent vouloir faire de Windows 8 un levier de leur retour à la croissance.
En clair, HP, comme ses concurrents, compte sur Windows 8 pour leur permette de reproduire un scénario à la Windows 7, qui avait contribué à relancer les ventes.
HP attend une sortie dans les temps de Windows 8
De son côté, HP annonce donc préparer une ligne de produits équipés de Windows 8 et dont le lancement est prévu pour la fin de cette année – la sortie de l’OS n’est toujours pas officialisée.
« Nous avons un lined up de produits avec PSG [Ndlr : Personal Systems Group, la division PC d’HP] sur Windows 8 sur x86. Nous pensons être bien positionnés sur Windows 8 x86 pour les vacances » déclare la PDG d’HP, Meg Whitman.
Pour y parvenir, HP mise donc sur une bonne version de Windows 8 (pas un écueil à la Vista donc…) et une sortie dans les temps afin de permettre une mise sur le marché avant la saison des fêtes de fin d’année.
HP entend a priori se concentrer sur la version x86 de Windows 8, la version classique donc de l’OS avec des processeurs Intel ou AMD. Le fabricant n’a pas fait part lors de la conférence de projet concernant un terminal Windows 8 en version ARM cette fois, comme une tablette par exemple. L’épisode de la TouchPad n’est sans doute pas encore digéré.

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Avast 7.0 chasse les virus avec l’aide du cloud

vast 7.0 s’ouvre tout entier au cloud ainsi qu’à l’analyse de contenus en fonction de leur réputation. La démarche relève d’un alignement sur des solutions antivirus alternatives.

Au rendez-vous de sa mise à jour annuelle, Avast passe en version 7.0. En conformité avec les promesses de son éditeur, l’antivirus gratuit fait la part belle au cloud.
Dans la lignée de solutions payantes tels Norton Everywhere et Kaspersky One, s’orchestre ainsi une convergence des postes de travail et des écosystèmes logiciels, sous l’égide d’un produit polyvalent, connecté au nuage et décliné pour l’occasion sous la forme de clients mobiles.

Point noir : l’envergure toute relative de la base de signatures virales rappelle à la réalité d’une évidente contrepartie qualitative.
Pour autant, la finalité perdure : concentrer la sécurisation non plus sur la seule machine, mais plus particulièrement sur la donnée, objet récurrent d’attaques ciblées.
Aussi, outre l’analyse des fichiers et des adresses URL en fonction de leur réputation, cet écosystème remodelé pour l’occasion adjoint au déploiement traditionnel des mises à jour, un flux continu de définitions de virus adressés, par intervalles, à l’ensemble des postes équipés d’Avast.
Le processus s’effectue en toute transparence pour l’utilisateur final. La puissance de l’infonuagique lui confère la commodité d’une diffusion uniforme et quasi instantanée.
Cette base de données s’enrichit chaque jour de quelques milliers d’éléments… à des années-lumière de Norton, qui enregistre toutefois le concours de quelque 18 000 développeurs.
Si les deux acteurs ne jouent assurément pas dans la même cour, Avast a bien des arguments à son actif. En premier lieu, FileRep, technologie d’analyse de fichiers en fonction de leur réputation.
Issus des plates-formes officielles ou de sources tierces, les paquets logiciels sont analysés avant, pendant et après leur installation, en fonction de critères tels que le nom de l’éditeur, le taux de déploiement ou l’implémentation d’un éventuel certificat électronique.
La collecte anonyme de données corrélatives depuis les machines clientes permet d’élargir une base de données, qui répertorie à l’heure actuelle quelques centaines de millions d’éléments.
Un tel procédé permet d’isoler dans la sandbox les contenus jugés suspects, tout en évitant les faux positifs et la mise en quarantaine d’éléments certifiés qui souffriraient, aux yeux de l’antivirus d’une quelconque incohérence, même minime.
Sur ce principe, WebRep assure la vérification des URL. S’y adjoint un module d’assistance entre usagers, sorte de client VNC destiné au contrôle à distance.

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jeudi 23 février 2012

Le Mozilla Marketplace ouvert aux développeurs pour le MWC


Mozilla Marketplace 

La plateforme Mozilla Marketplace de téléchargement d’applications multi systèmes,développées à partir d’outils internet comme le HTML5, JavaScript et CSS, s’apprête à ouvrir pour les développeurs.


La Fondation Mozilla a annoncé hier que son magasin d’applications Internet entrera en service la semaine prochaine à l’occasion du Mobile World Congress. Le Mozilla Marketplace ambitionne de se placer au-dessus de la fragmentation des systèmes d’exploitation et des terminaux en proposant des applications capables de fonctionner sur n’importe quelle plateforme.
Pour cela, les développeurs s’appuieront sur des technologies Internet telles que le HTML5, JavaScript et CSS. L’environnement d’exécution dans lequel les applications tourneront repose sur les moteurs de rendu Gecko et Webkit et des API pour lesquelles Mozilla veut obtenir une normalisation auprès du W3C. Au final, les applications (jeux, loisirs, productivité, etc.) tourneront aussi bien sur des plateformes mobiles que des environnements de bureau.
Les développeurs pourront commencer à s’inscrire dès la semaine prochaine. Le Mozilla Marketplace ouvrira au grand public plus tard dans l’année. (EP)

                                                                                                                                         source

Nouveau disque dur à un seul plateau pour Hitachi : rapide et résistant


 


hitachi-disque-dur 

Hitachi présente un nouveau disque dur au format 2,5". Basé sur une technologie à un seul plateau avec une vitesse de rotation de 7 200 trm, ce disque se veut plus fin, rapide et résistant.

 dans un univers du stockage dominé par Western Digital et Seagate, Hitachi poursuit sa route tant bien que mal en proposant ses nouveautés. Le japonais présente un nouveau disque dur au format 2,5 pouces construit sur une architecture à un seul plateau. Premier bénéfice : la taille. Le Travelstar Z7K500 affiche ainsi une épaisseur de 7 mm.
La particularité du Travelstar Z7K500 est donc de n'utiliser qu'un seul plateau offrant une capacité alalnt jusqu'à 500 Go, soit une densité de 626 gigabitspar pouces carré.
Le reste des caractéristiques reste dans la norme. Au standard SATA, le disque d'Hitachi utilise les connecteurs standards pour l'alimentation et la transmission de donnée. Selon le constructeur, son disque avec sa vitesse de rotation à 7200 trm, le support du SATA 3 (6 Gbpas) et son cache de 32 MO proposeraient des performances jusqu'à 33% supérieures aux autres disques 2,5" pouces du marché. Peu gourmand, la consommation est annoncée à 1,8 Watts lors des phases de lecture/écriture et de 0,8 Watt eu repos, le Travelstar Z7K500 résisterait à des chocs de  400 g.
Avec sa faible épaisseur, le Z7K500 se positionne comme une alternative "économique" au SSD sur les ultrabooks, même si Hitachi n'en a pas encore dévoilé les tarifs.
                                                         
                                                                                                                                    source

Intel SSD 313 Series : le Smart Response passe au 25 nm


Intel devrait profiter du lancement d'Ivy Bridge et des chipsets de la série 7 pour renouveler son SSD dédié à la fonction Smart Response. L'« Intel SSD 313 Series » nom de code « Hawley Creek » succèderait ainsi au 311 nom de code Larson Creek.


Le futur 313 n'est comme son nom l'indique qu'une modeste mise à niveau du 311. La principale nouveauté est le passage du procédé de fabrication en 34 nm à celui en 25 nm pour leur flash NAND SLC, ce qui devrait n'impacter que de façon négligeable l'endurance de ces puces fort peu complexes, tout en réduisant leur consommation électrique.

Le choix de mémoire SLC, plus fiable mais aussi bien plus onéreuse que la mémoire MLC, est pour rappel justifié par le fait que ce SSD joue le rôle de mémoire cache et qu'il voit donc transiter une grande quantité de données.

Intel X25-M 34 nm SSD

La coque au format 2,5 pouces passe quant à elle de l'épaisseur standard de 9,5 mm à une épaisseur réduite de 7 mm, mais les machines dans lesquelles l'encombrement doit être réduit adopteront plutôt le format mSATA, qui se matérialise sous la forme d'un PCB nu à enficher directement sur la carte mère.

Enfin, le 313 est désormais décliné en capacité de 24 Go en plus de celle de 20 Go. Ce n'est pas le modeste gain de 4 Go qui justifie ce modèle, mais très certainement le passage à une conception double canal entrainant une amélioration des performances, comme on en constate souvent en fonction de la capacité.

Faute de données chiffrées à ce stade, nous ne pouvons en revanche que le supposer.

On retrouve l'interface Serial ATA à 3 Gbps, ce qui laisse penser qu'il embarque le contrôleur maison existant, plutôt qu'un SandForce prenant en charge le SATA 6 Gbps comme on en trouve dans le jeune SSD 520 Series.

L'« Intel SSD 313 Series » de 20 Go devrait être vendu 100 dollars, celui de 24 Go 120 dollars. Quant à la date, les sources de VR-Zone parlent d'un lancement simultané à Ivy Bridge, attendu aux dernières nouvelles pour le mois d'avril.

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mercredi 22 février 2012

Google prépare une paire de lunettes sous Android

Elles diffuseront des informations en réalité augmentée, comme dans les films de science-fiction.

Plus besoin de sortir son smartphone de sa poche pour planifier un itinéraire, consulter la météo ou relever sa messagerie. D'ici à la fin de l'année, Google devrait mettre en vente une paire de lunettes ultramodernes, qui incrustera ces informations à proximité de la rétine.
Le blog 9to5Google et le New York Times livrent de premiers détails sur cet accessoire futuriste. Les lunettes de Google embarqueront une connexion Internet 3G ou 4G, un processeur de l'ordre d'un gigahertz, une puce GPS, une caméra et une flopée de capteurs de mouvements. Bref, des composants que l'on trouve habituellement dans un smartphone. Elles fonctionneront d'ailleurs avec une déclinaison du système d'exploitation Android.

Un contrôle par l'inclinaison de la tête

Cette débauche technologique permettra aux lunettes d'analyser les lieux et les objets environnants et de diffuser des informations contextuelles sur un petit écran, situé sur un côté des verres. La navigation dans les menus se contrôlera par des inclinaisons de la tête. Le système serait déjà «très rapide à maîtriser et une fois que l'utilisateur s'est adapté à la navigation, cela devient une seconde nature et devient presque imperceptible pour l'entourage», détaille 9to5Google.
Selon 9to5Google, les lunettes de Google ressembleront aux Oakley Thumb, une paire de lunettes de soleil qui embarquent déjà des écouteurs et un lecteur MP3 dans leur monture. Elles devraient donc être plus discrètes à porter que les 3D Moverio d'Epson, que Le Figaro a récemment testées et ne masqueront pas le champ de vision, contrairement au casque 3D de Sony sorti récemment. D'après le New York Times, l'accessoire ne sera toutefois pas destiné à être porté toute la journée.
Les lunettes de Google seront vendues dans le même ordre de prix qu'un smartphone, entre 250 et 600 dollars, suggère le quotidien américain. Pour l'heure, ses concepteurs n'ont pas bâti de modèle économique et parlent d'une expérimentation que les utilisateurs les plus avant-gardistes pourront rejoindre. Le développement du projet de lunettes est mené par les équipes de Google X, une unité dédiée à l'innovation au sein de Google. Il est chapeauté par Steve Lee, un des créateurs du service de géolocalisation Latitude et reçoit l'appui de Sergeï Brin, cofondateur du moteur de recherche.

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ASUS publie une méthode de déverrouillage officielle pour le bootloader de sa Eee Pad Transformer Prime

Et voilà, comme promis ASUS vient de publier une méthode qui permet de déverrouiller officiellement le bootloader de la tablette Eee Pad Transformer Prime.
Attention, avant d’effectuer ce genre de manipulation vous devez savoir ce que vous faites et bien prendre conscience de tous les risques encourus. De plus, ASUS mentionne bien que si vous déverrouillez le bootloader de votre tablette, il n’y aura aucune possibilité de retour et la garantie ne sera plus valide. Dernière chose, cette méthode fonctionne uniquement avec le modèle  TF201 sous Android Ice Cream Sandwich.





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Ubuntu pour Android : transformer un smartphone en vrai PC

Un écran, un clavier, un smartphone Android, c'est tout ce qui est nécessaire pour retrouver l'expérience utilisateur et l'interface de la plate-forme Ubuntu grâce à Ubuntu pour Android dont Canonical fera la démonstration au salon MWC 2012 de Barcelone.

Ubuntu for AndroidL'idée de faire du smartphone une base pour un client léger sur lequel on retrouverait une expérience de PC n'est pas neuve mais avec l'arrivée des processeurs multicore dans les appareils mobiles, il devient possible de ne plus proposer seulement des versions édulcorées de plates-formes mais bien les OS complets.

L'éditeur Canonical exprimera cette vision avec la démonstration d'une plate-forme Ubuntu pour Android au salon MWC 2012 de Barcelone qui permet de retrouver l'ergonomie d'Ubuntu version PC à partir d'un smartphone Android multicore auquel sont reliés un écran et un clavier.

Et si l'an dernier, on pouvait constater un début d'interface PC gérée par le smartphone, Ubuntu pour Android se propose de retrouver la totalité de l'expérience Ubuntu fonctionnant en simultané avec Android, permettant de partager les informations ( contacts, messages, etc ) entre les deux systèmes.

Le smartphone exploite totalement Android en temps normal, mais le relier à un écran fait apparaître l'interface Ubuntu, la même que sur ordinateur et tout aussi compatible avec les applications Ubuntu....voire des applications Windows en passant par la virtualisation.


La frontière entre smartphone et PC toujours plus floue
Canonical vise une clientèle de salariés mobiles en entreprise et en agences gouvernementales (et jusqu'aux marchés émergents ), désireux de ne pas s'encombrer d'une panoplie d'outils informatiques et avec l'avantage de simplifier la gestion et la sécurité de ces mêmes outils, réunis en un seul.

" Le bureau est la killer-app des smartphones quadcore en 2012. Ubuntu pour Android transforme votre terminal haut de gamme en un ordinateur de bureau productif chaque fois que vous en avez besoin ", souligne Mark Shuttleworth, fondateur de Canonical.

Pour séduire les fabricants de smartphones, Ubuntu pour Android est conçu pour cohabiter facilement avec l'OS mobile de Google tandis qu'il faudra que les smartphones embarquent des ports USB et HDMI en plus de leur nature multicore.

Canonical compte sur le développement de la 4G ( LTE ou WiMAX ), avec ses très hauts débits mobiles qui n'ont plus grand-chose à envier aux débits de connexions Internet fixes ADSL, pour faire d'Ubuntu pour Android une force de proposition en entreprise.
                                                                                                                              source

BlackBerry PlayBook OS 2.0 est arrivé

La compagnie canadienne Research in Motion (RIM) a mis à jour la nouvelle version du système d’opération PlayBook OS pour les tablettes BlackBerry PlayBook.

Attention : BlackBerry PlayBook est compatible uniquement avec la tablette BlackBerry PlayBook.

Il intègre maintenant un client email et offre la possibilité de stocker tous vos messages (notamment ceux de Facebook, LinkedIn et Twitter et les courriers mails) dans une unique boîte de réception. Avec BlackBerry PlayBook OS 2.0, RIM apporte également des améliorations à la fonction Documents To Go (visualisation et édition de fichiers Office) et l’ajout de Print To Go.

Pour mettre à jour : rendez-vous dans Paramètres –> Mises à jour logicielles –> Vérifier les mises à jour.

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MegaUpload : Kim Schmitz "Dotcom" est libéré sous caution


La justice vient d'accorder au fondateur de MegaUpload le droit de séjourner hors de prison. Kim Schmitz (« Dotcom ») est donc libéré sous caution mais est assigné à résidence et portera un bracelet électronique. Quant à son procès, il reste maintenu.


L'Allemand de 38 ans, fondateur de MegaUpload a obtenu de la justice néo-zélandaise d'être libéré sous caution. Le tribunal a considéré que le dirigeant ne quittera pas le pays sans y être autorisé et se tiendra à la disposition de la Cour. Les accusations prononcées à l'encontre de Kim Schmitz n'ont pas été levées mais il pourra désormais séjourner dans sa résidence, auprès de sa famille. Par contre, le montant de la caution n'a pas été dévoilé.

Le juge Nevin Dawson a assorti cette libération de plusieurs conditions. Kim Schmitz sera assigné à résidence dans sa propriété (interdiction de s'éloigner de plus de 80 km) et ne devra pas consulter Internet ni réserver de vols par hélicoptère (sauf en cas d'urgence médicale). Il portera également un bracelet électronique qui justifiera de sa présence sur le territoire.

Kim Schmitz s'est déclaré soulagé de cette décision et a salué la décision du tribunal. Toutefois, les charges contre lui ne sont pas abandonnées et les Etats-Unis demandent toujours à ce que le fondateur de MegaUpload soit extradé. Selon l'AFP, cette demande devrait d'ailleurs être étudiée par la justice néo-zélandaise aux alentours du 20 août prochain.

Pour rappel, la Cour de Virginie (Etats-Unis) reproche à l'ensemble des responsables des sites de la galaxie Mega d'avoir permis de consulter illégalement des contenus protégés par le droit d'auteur. Selon les chefs d'accusation, la justice a qualifié les faits en racket, violation du droit d'auteur, blanchiment d'argent et utilisation d'un réseau informatique de distribution de contenus sous copyright sans autorisation. S'il est reconnu coupable de ces faits, Kim Schmitz encours une peine pouvant aller jusqu'à 20 ans de prison.

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Google Chrome veut se charger de vos mots de passe sur le web

On est tous abonné à des dizaines de sites Internet, à des dizaines de pages, de comptes, de profils, qui nécessitent à chaque fois un mot de passe. Et Google Chrome se propose aujourd'hui de nous aider. Car, évidemment, il devient quasiment impossible de mémoriser un mot de passe complexe et travaillé pour tous ces sites. Du coup, Google bosse actuellement sur un générateur de mots de passe, qui serait intégré à Google Chrome.
Concrètement, comment ça marche ? Un module Chrome se charge de tout et s'occupe notamment de générer aléatoirement un password complexe, dès qu'on vous demande un nouveau mot de passe. Celui-ci sera ensuite stocké sur des serveurs sécurisés de Google.
>>> Google ''ouvre'' Safari pour iPhone et espionne les utilisateurs
Au besoin, vous n'aurez qu'à aller sur votre compte Google Chrome pour récupérer l'un des mots de passe, sans les mémoriser. Un système qui pourrait s'avérer bien pratique, pour permettre à de nombreux utilisateurs tête en l'air d'avoir différents mots de passe beaucoup plus difficile à pirater qu'une simple date de naissance ou le nom du chien...
Par ailleurs, cette amélioration de Google Chrome pourrait aussi être offrir une fonction intéressante, qui permettrait de surveiller nos mots de passe. Dans le cas où elle détecterait une tentative de piratage, cette fonction pourrait carrément modifier le password compromis...

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Microsoft étend le support de Vista et Windows 7

Les salariés utilisent de plus en plus leurs appareils personnels pour le travail. Un risque de sécurité pour les entreprises, que Microsoft veut diminuer en étendant le support des versions familiales de Windows Vista et Windows 7.
Microsoft a discrètement rallongé de cinq ans le support des versions grand public de Windows Vista et Windows 7, les alignant sur les durées jusqu’ici réservées aux versions professionnelles.
Le support étendu de ces systèmes d’exploitation est ainsi prolongé de 5 ans. Windows Vista édition familiale recevra du coup des mises à jour de sécurité jusqu’en avril 2017, et Windows 7 édition familiale jusqu’en janvier 2020.

Cette décision doit être comprise comme une réaction à une tendance de fond, la consumérisation de l’IT.
Ce néologisme décrit un phénomène devenu incontournable en entreprise : les salariés exigent de pouvoir utiliser leurs appareils personnels dans un cadre professionnel.
Smartphones, tablettes, solutions en mode cloud et ordinateurs personnels deviennent ainsi omniprésents dans les systèmes d’information des entreprises, et favorisent télétravail et mobilité.
Au prix d’une perte de contrôle des DSI, et d’une augmentation des risques de sécurité.
Une transformation analysée dans une étude détaillée par ChannelBiz.fr, citant Thierry Cazenave, directeurs Solutions chez Avanade :
« L’IT ne résiste pas aux technologies grand public qui arrivent dans l’entreprise, ce qui est confirmé par 88% des répondants [de notre étude]. Et 60% de ces DSI investissement déjà dans les technologies de consumérisation, ils s’y préparent« , explique le responsable.
Il précise que « les entreprises disent qu’elles ont toutes les ressources pour accueillir ce changement, en fait ce n’est pas vraiment le cas. Un certain nombre déclare avoir connu des failles de sécurité, et les entreprises n’investissent que 25% de leur budget IT pour s’y adapter. »
Toute aide de l’éditeur de Windows est donc bienvenue.

                                                                                                                                    source

mardi 21 février 2012

Angry Birds sur Freebox Revolution : premières impressions

Les oiseaux en colère sont partout. Après avoir rencontré un beau succès sur smartphones puis sur Chrome, Angry Birds s'invite dans nos salons. Disponible gratuitement sur Freebox Révolution, le jeu de Rovio devrait affoler les télécommandes.


L'un des plus grand succès vidéoludiques de ces dernières années s'invite sur la Freebox Révolution. Il ne s'agit pas de Call of Duty, de GTA ou de World of Warcraft mais tout simplement d'Angry Birds, titre qui s'est rapidement imposé sur les smartphones.

Le jeu, édité par Rovio, avait déjà fait des infidélités aux écrans de nos téléphones en investissant le Chrome Store, magasin d'applications dédié au navigateur de Google. Cette fois-ci, c'est sur les téléviseurs que les oiseaux vont livrer bataille aux cochons.

Angry Birds est disponible gratuitement pour les abonnés Freebox Révolution. Il suffit de se rendre dans le Freestore, de télécharger le titre puis de le lancer.


Angry Birds est-il un must have sur Freebox Révolution ?

Le titre a su s'imposer sur les smartphones grâce à un gameplay simple et à un design réussi. Sur Freebox Révolution, la recette ne change pas même si la façon de contrôler les volatiles se trouve modifiée.


Angry Birds


A la place de propulser les oiseaux du bout du doigt, il faudra utiliser la télécommande du Freebox Player. Le gyroscope se charge de capter les mouvements pour contrôler l'angle et la puissance du lance-pierre.

Durant les premiers niveaux, Angry Birds requiert peu de finesse pour réussir donc une visée approximative suffit à la réussite. Il faudra toutefois s'armer de patience dans les étapes nécessitant plus de précision dans les tirs.

D'une façon générale, l'animation est moins rapide que sur smartphone avec une petite impression d'inertie constante mais cela ne gêne en rien le déroulement du jeu. La mécanique Angry Birds est restée intacte sur ce portage télévisuel qui n'inclut pas moins de 300 niveaux. Ceux qui avaient adoré le titre sur smartphone retrouveront certainement le plaisir de balancer les oiseaux rageurs tandis que les autres bloqueront sur le côté très répétitif du jeu.

                                                                                                                                      source

 
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